Dans les usines on fait tout pour ne pas propager le coronavirus, mais il ne faut surtout pas oublier de se protéger des risques d’accidents comme auparavant. Les dangers en entreprise sont aujourd’hui relayer au second niveau à cause des protocoles liés à la COVID19. Les managers de terrain, les techniciens, toutes les personnes ayant un pouvoir hiérarchique doivent communiquer davantage sur les potentiels accident du travail.
Les risques du détour d’attention sont plus importants
Les chefs d’entreprise ont bien affaire pour faire respecter les règles sanitaires suite au COVID19. Maintenant, il ne faudrait pas qu’un relâchement se produise au niveau de la sécurité sur machine, comme lors de déplacements à pied ou en engin motorisé de type chariot élévateur. On le sait que dès qu’il y a du changement dans les habitudes d’un opérateur ou de toute autre fonction d’un salarié. On ne peut pas s’inquiéter d’être contaminé sans pour autant se dire que les autres risques n’existent plus. C’est pourquoi les managers doivent redoubler de vigilance. Les opérateurs sur machine ne doivent pas hésiter à faire usage des appareils de sécurité, même dans le doute. On ne doit pas prendre le risque de voir un accident se produire sous prétexte de respecter les gestes barrières notamment.
L’hygiène et la sécurité au travail en réel ça donne quoi ?
Entre ce que l’on lit et ce que l’on vit, il y a un fossé parfois. En effet, les règles d’hygiène et de sécurité pour éviter les accidents du travail ne sont pas toujours respectées ou appliquées à la lettre. Certains diront que ce n’est pas possible, ceux-là vous leur montrerez des vidéos de personnes amputées d’une main suite à un accident à l’usine. On se doit de toujours respecter les consignes de sécurité, et même si un manager vous donne l’ordre de passer outre, vous pouvez alors utiliser votre droit de retrait.
La crise sanitaire de la COVID19 bouleverse les règles en entreprise, mais une seule chose est importante c’est la sécurité de tous. Le respect des règles est primordial, mais retenez que celles liées à la distanciation sociale, à la désinfection et le port du masque, ne sont nullement plus prioritaires que les autres. Car un danger reste un danger, quel qu’il soit.
